Qui sommes-nous?

 

Qui sommes nous ?

Notre association, Asapistra pour Association Apicole de Strasbourg, a été créée en 2008, à l’initiative de quelques jeunes apiculteurs strasbourgeois passionnés, sous l’égide de Jean-Claude Moes, dernier apiculteur professionnel de Strasbourg.

Elle a pour buts de :

  • Créer une structure de convivialité et d’épanouissement pour ses membres par la pratique apicole, en formant de nouveaux apiculteurs et en diffusant les connaissances apicoles, les règles de conduite de rucher afin de préserver l’abeille et d’améliorer la qualité des produits de la ruche.
  • Participer à des actions éducatives en direction de tout public : informer et alerter sur la nécessité de préserver la biodiversité afin de permettre la survie de l’abeille et la sauvegarde de notre environnement.
  • Offrir aux adhérents une solidarité apicole qui pourra se traduire par une entraide appropriée basée sur la bonne volonté de chacun.
  • Favoriser une apiculture respectueuse de l’environnement, de la flore et notamment en ce qui concerne la santé des abeilles.

Pour ceux qui souhaitent acquérir une formation apicole, AsApiStra propose des formations, la mise à disposition de terrains pour accueillir les ruches des membres de l’association (citadins ou n’ayant pas de jardin adapté), le prêt du matériel pour la récolte et l’extraction du miel, etc.

L’irradiation gamma pour la stérilisation du matériel apicole

Le matériel apicole constituant un réservoir d’agents pathogènes, l’adoption de pratiques de stérilisation est vitale. L’irradiation par rayons gamma, déjà adoptée dans les domaines agroalimentaire et médical, permet de stériliser l’ensemble du matériel et a déjà montré son efficacité sur la loque américaine.  Une équipe de chercheurs américains s’est intéressée à son effet sur d’autres pathogènes (champignon, virus), mettant en évidence son large spectre d’action et son potentiel comme méthode de désinfection universelle du matériel apicole.

La ruche connectée pour suivre l’activité journalière de la ruche

Alors que l’évolution du poids de la ruche à l’échelle mensuelle permet d’estimer les variations des réserves alimentaires (pollen, miel) et de la taille de la population, le suivi journalier permet un diagnostic plus fin et réactif de l’activité de la ruche. Une équipe internationale a collecté les données de différentes ruches connectées afin de pouvoir interpréter les variations journalières de poids.

Les abeilles domestiquées ont-elles un effet néfaste sur les abeilles sauvages ? Un constat mitigé

Alors que le nombre de populations d’abeilles domestiquées ne cessent de croitre pour répondre aux besoins de pollinisation de l’agriculture, leurs effets sur les populations sauvages est une source de préoccupation. Afin de dresser un état des lieu global et synthétique de cette problématique, une équipe de l’Université du Winconsin1 a collecté par le biais du moteur de recherche Web of Knowledge/Web of Science 3968 articles.

Le micmac des « omiques »

En prévision de prochains billets, je fais une petite vulgarisation sur les techniques de séquençage de l’information génétique, regroupées sous la dénomination « omiques ».

L’Open Access pourquoi c’est important ?

Je m’éloigne des thématiques de recherche apicole pour rédiger un billet à propos de l’Open Access ou Libre Accès et pourquoi c’est important (bien que ça paraisse barbant).

Des abeilles pour connecter les humains

«Vous savez quels rdv un drogué ne rate jamais ? Celui avec son dealeur … et celui avec les abeilles»1. C’est par ces mots prononcé par Dean Wilson, activiste des droits civiques, surnommé le «junkie le plus célèbre du Canada», que j’ai découvert l’ONG Hives for Humanity2 et sa mission d’apiculture urbaine «thérapeutique». Au commencement de cette nouvelle année, je m’éloigne des thématiques de recherche, pour la plupart assez pessimistes, pour évoquer une belle aventure humaine dans les contrées canadiennes.

Quand les pratiques apicoles deviennent contre-évolutives

Alors de nombreux de facteurs participant à l’effondrement des populations d’abeilles ont été identifiés, peu d’études se sont intéressées à l’impact des pratiques apicoles. Deux sommités mondiales en recherche apicole, le Dr Neumann (Institute of Bee Health – président du COLOSS) et le Dr Blacquière (Wageningen UR), ont co-écrit un article de perspective1 mettant en lumière, sous le prisme de l’évolution, le rôle prépondérant des pratiques apicoles dans la préservation des abeilles domestiques.

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